ça y’est il est dans les kiosques !
A nous la cuisine de Jamie décomplexée et Rock’m Roll…
A nous les voyages culinaires …
A nos casseroles et nos fourneaux !
Par Elodie Maître-Arnaud sur www.femina.ch
Près de 400 000 prélèvements sont effectués chaque année dans les centres de transfusion de la Croix-Rouge Suisse. Un chiffre en baisse, du fait, notamment, du manque de nouveaux donneurs. Et si on tendait le bras nous aussi?
Pourquoi offrir son sang?
Pour sauver des vies. Les transfusions sanguines sont en effet indispensables à certains traitements médicaux ou interventions chirurgicales.
Qui peut se dévouer?
Toute personne en bonne santé, âgée de 18 à 65 ans (jusqu’à 75 ans pour les volontaires réguliers) et pesant plus de 50 kg. Un questionnaire médical permet en outre d’exclure certaines situations considérées à risques, tant pour le donneur que pour le receveur. Ces critères d’exclusion sont, pour l’essentiel, liés à l’état de santé du donneur, à ses pratiques sexuelles et à ses séjours éventuels dans certains pays étrangers. Chaque femme peut se faire prélever du sang jusqu’à 3 fois par an (4 pour les hommes).
Où faut-il se rendre?
Dans l’un des centres régionaux fixes du Service de transfusion sanguine de la Croix-Rouge Suisse, ou auprès de leurs antennes mobiles. On peut trouver l’adresse la plus proche de chez soi sur le site http://www.transfusion.ch
Quelles sont les précautions à prendre?
Eviter d’être à jeun pour ne pas tourner de l’œil pendant la prise de sang. Ne pas faire de repas trop riche ou trop arrosé dans les 24 h qui précèdent. Bannir tout effort sportif intense le jour même ou la veille. Reporter le don en cas de grosse fatigue, de fièvre ou de maladie.
Comment se déroule le prélèvement?
Compter entre une demi-heure et une heure en tout, même si la prise de sang ne dépasse pas une dizaine de minutes. Après un questionnaire médical, il faut en effet subir un bref examen: mesure de la tension artérielle, du pouls et du taux d’hémoglobine via une petite piqûre au doigt. L’infirmier ou l’infirmière prélève ensuite environ 450 ml de sang (soit 10 à 13% de ce que le corps contient). Une opération au terme de laquelle on doit se reposer un petit moment, en prenant une collation.
Que se passe-t-il ensuite?
Garder le pansement compressif pendant quelques heures pour prévenir la formation d’un hématome. Boire abondamment au cours de la journée. Eviter de faire du sport jusqu’au lendemain.
4 idées reçues à dépasser pour faire un premier don
«C’est douloureux»
Certes, personne n’aime particulièrement les piqûres! Mais si l’on est bien détendue, on ne sent pratiquement pas l’aiguille pénétrer dans la veine. Et puis les infirmières ont des tas d’astuces pour détourner l’attention des plus douillettes.
«J’ai peur d’attraper des maladies»
Le matériel utilisé pour le prélèvement est stérile et à usage unique. Aucun risque donc de contracter une quelconque affection lors de la prise de sang.
«Je crains d’être fatiguée»
Le questionnaire médical et l’analyse de l’échantillon de sang permettent d’écarter les personnes dont l’état de santé empêche de supporter le prélèvement. Pour les autres, la perte de liquide est rapidement compensée et les globules blancs sont remplacés en une journée. L’organisme ne reste ainsi pas sans défense. Après huit semaines au maximum, le corps aura en outre renouvelé l’intégralité de cette quantité de sang.
«On ne manque pas de sang en Suisse»
Si cette affirmation est exacte, les différents centres de transfusion constatent cependant une baisse régulière du nombre de donneurs depuis quelques années. Vaud et Genève doivent même importer régulièrement des poches depuis les autres cantons. Pour être certains que les hôpitaux disposent en permanence de réserves suffisantes, des campagnes d’appel au don sont régulièrement lancées afin de recruter de nouveaux volontaires.
Par Sophie Reymondin sur www.femina.ch
La taxe au sac vous a rattrapés, et sinon, elle vous pend au nez! C’est donc le fin moment de réduire le volume de vos ordures ménagères. Conseils et astuces pour les mettre au régime sec.
Chez Saperlipopette nous avons pris les bacs de chez IKEA pour le verre, l’alu et le PET et une poubelle de 10 litres avec couvercle pour les déchets organiques … Finalement trier c’est super facile !
Dans beaucoup de communes vaudoises, c’est fait: le sac-poubelle est taxé. En format de 35 litres, il coûte désormais 2 Sfr. et, du coup, on réfléchit un brin avant d’y balancer n’importe quels déchets. Bon réflexe, car en triant on réalise de belles économies tout en ménageant l’environnement. Marche à suivre.
Limiter les emballages
Une habitude efficace pour diminuer le volume des déchets consiste à préférer les produits vendus au détail ou peu emballés. Dans les supermarchés, les fruits et légumes, notamment, peuvent être conditionnés et pesés par le consommateur dans des sachets en plastique, moins volumineux que les barquettes. On pourra réutiliser ces sachets lors des prochaines courses ou, à la maison, pour emballer des langes usagés ou des restes de poisson malodorants. C’est un bon truc, car avec le temps, quand on trie beaucoup, les ordures s’entassent lentement et se mettent à embaumer…
Pensez en outre à choisir les bouteilles de lait recyclables – reprises notamment par la Migros et la Coop – plutôt que les berlingots en carton plastifié qui doivent être incinérés. Enfin, pour pousser les fabricants à prendre leurs responsabilités, n’hésitez pas à laisser une partie des emballages au supermarché!
Composter les déchets végétaux
Avant l’entrée en vigueur de la taxe poubelle, les sacs à ordure contenaient environ 20% de déchets organiques. Il reste donc un gros potentiel d’économie dans le compostage. Mais attention à n’y jeter que des épluchures de fruits et de légumes, et d’autres restes crus. Les composts digèrent aussi la coquille d’œuf, mais pas les spaghetti ni la viande!
Trier le plastique
Si ce n’est pas déjà fait, récupérez les bouteilles de sodas et autres contenants avec sigle PET: vos poubelles maigriront à vue d’œil. Malheureusement, une grande partie des emballages en plastique, comme les barquettes ou les barils de lessive, doivent être incinérés. De même, les pots de yogourts finissent avec les ordures ménagères mais certains peuvent être débarrassés de leur enveloppe cartonnée – jetée avec le papier – et empilés de manière à gagner de la place.
Le papier, le carton, l’alu et les autres…
Si on a l’habitude de récupérer les vieux journaux séparément, de nombreux papiers et emballages cartonnés finissent, eux, à la poubelle. Au final, ils prennent pas mal de place dans le sac et méritent donc d’être triés. L’aluminium et les boîtes de conserves se collectent également séparément. De même, les piles, les CD/DVD, les cartouches d’encre des imprimantes à jet d’encre et les appareils électroniques sont repris par la plupart des commerces. Les capsules de café font l’objet d’une collecte spécifique, comme les habits et chaussures usagées. En procédant ainsi, vous pouvez espérer vous en tirer avec un sac par semaine.
Ce qui reste dans le sac
En principe, le sac-poubelle ne devrait contenir que des matières incinérables non recyclables, soit notamment:
- Les berlingots de lait, de jus d’orange, des bouteilles vides de vinaigre et d’huile, des emballages de viandes ou de légumes.
- Les papiers et cartons souillés, tels que mouchoirs et papier de ménage.
- Les serviettes et tampons hygiéniques; pour les couches-culottes, se renseigner auprès de sa commune qui devrait en principe offrir une aide sous forme de sacs gratuits.
- Les produits d’hygiène, tels que lingettes, tampons démaquillants, Q-Tips.
- Les textiles hors d’usage ou souillés.
- Les sacs d’aspirateur.
- Les emballages de lessive.
- Les objets composés de matières indissociables et les déchets de nourriture cuite ou transformée.
- Les petits bris de vaisselle, de vitres, de miroirs, ampoules à filament, etc.
Musée d’Histoire de Berne
15 mars – 17 novembre 2013
www.qin.ch
Pour la première fois, un groupe entier de vraies figures en terre cuite provenant du mausolée de l’empereur Qin Shi Huangdi voyagera jusqu’en Suisse pour y être présenté au grand public. Ne manquez pas cette occasion unique et rendez-vous à Berne pour rencontrer ces figures réalistes et grandeur nature en face-à-face.
L’exposition se concentre sur la naissance de l’empire chinois, sur la figure énigmatique du Premier Empereur et sur son mausolée monumental avec la spectaculaire armée de terre cuite. Sans oublier l’héritage que cette époque a laissé à la Chine. Les figures en terre cuite sont réunies avec environ 220 autres pièces fascinantes et de grande valeur pour former un ensemble qui évoque divers aspects des débuts de l’empire chinois. En s’intéressant à l’histoire de sa civilisation et à son riche patrimoine culturel, l’exposition présentée en allemand, français ou anglais vous permettra de mieux comprendre « l’Empire du Milieu ».
“8ème merveille du monde”
En 1974, l’armée de terre cuite de Qin Shi Huangdi (259 – 210 av. J.-C) fut découverte par hasard. Cette armée avec ses quelque 8000 guerriers grandeur nature fait partie d’un imposant mausolée dont le centre reproduit l’image du monde.Inscrite depuis 1987 sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, cette armée est souvent qualifiée de 8e Merveille du monde.
Par Elodie Maître-Arnaud sur www.femina.ch
Une chute, un coup… Ce ne sont pas les occasions qui manquent pour mettre en péril le sourire d’un enfant. Que faire? Quelles sont les précautions à prendre? Le point pour agir efficacement et sans affolement.
On récupère la dent
Une fois le choc de la découverte du nouveau sourire de Junior passé, on met tout le monde à quatre pattes sur le lieu de l’accident pour tenter de retrouver le morceau, spécialement si toute la dent a été expulsée. L’idéal est alors de ne pas chercher à la nettoyer et de la conserver dans du lait ou du sérum physiologique. Et si on n’a pas ça sous la main, on garde la dent – ou le morceau – dans la bouche… en faisant attention de ne pas l’avaler.
On évalue l’urgence
Une dent définitive a été arrachée? On file au plus vite chez un dentiste. En intervenant immédiatement après le choc, il est en effet possible de la réimplanter. Des permanences sont assurées 7 jours sur 7 dans de nombreux centres dentaires. On ne tarde pas non plus si la gencive saigne beaucoup, ou si la cassure a atteint la pulpe de la dent (partie interne où se situent notamment les nerfs), car l’enfant risque d’avoir très mal. En l’absence de douleur, on peut attendre un peu, mais il faut consulter un dentiste dans les jours qui suivent l’accident, même s’il s’agit d’une dent de lait.
On consulte un dentiste
Si la pulpe de la dent n’a pas été touchée, le dentiste peut directement recoller le morceau de dent retrouvé ou, à défaut, réaliser le bout manquant dans un matériau composite. Cet ajout ne tiendra probablement pas éternellement mais pourra être facilement changé au besoin. En cas d’atteinte de la pulpe, la dent devra être dévitalisée avant toute reconstruction (morceau en composite ou pose de couronne). Enfin, si la racine est atteinte, il faudra sans doute arracher la dent et la remplacer par un implant, un bridge ou une prothèse amovible.
On prévient son assurance
Mieux vaut faire jouer au plus vite la couverture accident de l’enfant en remplissant un formulaire de déclaration. On y précise les circonstances de l’événement et les personnes éventuellement impliquées, en joignant à cette déclaration les premières constatations du dentiste. En effet, seul l’accomplissement de ces formalités permettra la prise en charge d’éventuelles complications ultérieures: nécrose d’une dent quelques mois ou années après le choc, ou encore nécessité de remplacer un composite par exemple.
Par Jennifer Segui sur www.femina.ch
Chaton arrive bientôt à la maison? Les questions à se poser avant, pendant et après son installation.
Suis-je la maîtresse idéale?
C’est sûr, vous avez envie d’adopter un chaton. Mais avant de prendre cette décision qui vous engagera peut-être pour les vingt prochaines années, vous devez vous poser la question: êtes-vous prête à prendre cette responsabilité? Car même si un chat est plus autonome qu’un chien, il requiert tout de même soins et attention constante. Est-ce que votre vie est plutôt stable et passez-vous du temps à la maison? N’êtes-vous pas maniaque au point de ne pas supporter les griffures sur votre canapé et les longs poils sur vos tapis? Avez-vous les moyens de subvenir à ses frais alimentaires et médicaux. Votre environnement familial est-il d’accord avec votre choix? Etes-vous certaine que personne dans votre entourage proche ne souffre d’allergie aux chats?
Comment le choisir?
Un chat ordinaire est un parfait compagnon, pour peu que l’on connaisse un brin ses origines. Si le territoire du chaton se limite aux murs de votre appartement, mieux vaut ne pas prendre un animal qui a vécu à la ferme au grand air et se sentirait chez vous à l’étroit. Un chat de race, si vous en avez les moyens, peut être une bonne solution, car chaque espèce a des caractéristiques propres et connues. Si vous optez pour un chat de refuge, assurez-vous que celui-ci a été bien traité et a reçu les soins adéquats.
Mâle ou femelle?
Ils sont aussi affectueux l’un que l’autre. Si vous ne souhaitez pas faire faire de petits à votre animal de compagnie, il faudra castrer votre mâle ou stériliser votre femelle. Si les femelles ont en général besoin d’un plus petit territoire que les mâles, elles sont souvent moins sociables avec leurs congénères.
L’accueillir en grande pompe?
Lorsque vous allez chercher votre chaton, emmenez avec vous sa boîte de transport. Laissez-la ouverte dans le lieu où il a grandi pour que sa famille puisse y laisser son odeur. N’hésitez pas à habiller cette boîte d’une petite couverture qui prendra cette même odeur.
A la maison, créez-lui un petit espace calme et un peu isolé le temps de son acclimatation. Choisissez-lui un nom doux et court, si possible deux syllabes maximum. Cette année, les chats de race portent un nom qui commence par la lettre H. Hermione de la Panouze, c’est royal, mais un peu lassant peut-être…
Que prévoir pour son trousseau?
- Deux gamelles, l’une pour les croquettes ou la viande et l’autre pour l’eau. Il existe des gamelles avec réservoir si vous vous absentez quelques jours, pour un week-end par exemple.
- Un bac à litière avec, si possible, la même litière que celle qu’il utilisait déjà, pour que chaton associe immédiatement l’odeur à son lieu d’aisance. Si vous êtes à la campagne, une chatière qui le laisse libre de ses mouvements vous évitera la corvée de nettoyage de sa caisse.
- Un panier, une corbeille ou un coussin dans un endroit tranquille et propre.
- Des jouets adaptés dont il ne risque pas d’avaler des petites pièces.
- Un griffoir et/ou un arbre à chat pour qu’il épargne vos canapés.
- Une brosse ou un peigne.
- De l’herbe à chat si celui-ci ne va pas à l’extérieur.
De quels dangers le protéger?
- Sécuriser les fenêtres et les balcons qui peuvent être source de chutes graves.
- Oter les plantes toxiques – nombreuses –, comme le ficus ou le géranium.
- Faire attention aux produits chimiques que vous utilisez dans la maison ou dans votre jardin.
- Ne laissez traîner aucun petit objet qui risquerait de le blesser ou de l’étouffer.
- Surveillez, enfin, vos appareils ménagers et jetez systématiquement un coup d’œil à votre lave-vaisselle ou à votre lave-linge avant de les mettre en marche.
A lire
«Le guide du chaton», de Brigitte Eilert-Overbeck, Marabout Animaux.
Par Elodie Maître-Arnaud sur www.femina.ch
On vous a piqué votre sac? Après la panique, place à la réplique! Check-list en 8 points des démarches à entreprendre pour parer aux déconvenues en série.
1. Contactez votre banque
Afin d’éviter que vos cartes de paiement ne soient utilisées par les voleurs. Les numéros d’assistance figurent généralement sur les bancomats.
L’astuce: Evitez de noter vos codes NIP dans votre portefeuille ou votre téléphone.
2. Faites bloquer votre mobile
Et vite! En effet, toutes les communications passées avant le blocage de la ligne sont à votre charge. Par la suite, munissez-vous de votre déclaration de vol pour vous procurer une nouvelle carte SIM.
L’astuce: Effectuez des sauvegardes régulières de vos données et installez une appli pour localiser votre appareil et en effacer le contenu à distance.
3. Portez plainte
En précisant ce qui vous a été dérobé. L’attestation de vol qui vous sera délivrée est indispensable pour effectuer la plupart de vos démarches ultérieures.
L’astuce: Dressez une liste du contenu de votre sac à main pour faire valoir tous vos droits auprès de vos assurances.
4. Changez vos serrures
Prenez contact avec la compagnie chez qui vous avez souscrit votre assurance ménage. Elle aura probablement un prestataire agréé à vous recommander.
L’astuce: Mieux vaut éviter de transporter dans votre sac les deux jeux de clés de votre voiture.
5. Appelez votre assurance
Quelle que soit votre couverture, la plupart des contrats imposent de déclarer le vol dans un délai relativement bref. Le plus fastidieux est de faire le tri dans vos différentes polices pour identifier qui garantit quoi!
L’astuce: Certaines assurances proposent des «assurances sac à main». En plus d’une indemnisation, celles-ci s’occupent également d’accomplir bon nombre de formalités.
6. Contactez les objets trouvés
Les voleurs se débarrassent souvent immédiatement de ce qui ne les intéresse pas. Vous avez peut-être une chance de retrouver vos gris-gris fétiches.
L’astuce: Cela vaut souvent la peine de… faire les poubelles!
7. Renouvelez vos papiers
Munissez-vous de l’attestation de vol délivrée par la police lors du dépôt de plainte et rassemblez tous les documents utiles avant d’entreprendre les formalités nécessaires au renouvellement de votre passeport, permis de conduire, etc., par les autorités compétentes.
L’astuce: A l’étranger, faites une copie papier et une copie numérique de vos documents d’identité afin de faciliter les démarches auprès de votre consulat en cas de vol.
8. Remplacez vos cartes
Abonnement fitness, cartes de fidélité ou d’accès à votre lieu de travail… Informez rapidement qui de droit du vol pour éviter toute utilisation frauduleuse et pour vous procurer de nouveaux sésames. Mieux vaut prévenir…
L’astuce: Conservez chez vous des photocopies de vos cartes les plus importantes. Cela vous évitera un fastidieux travail de mémoire pour en faire l’inventaire en cas de besoin.
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C’est un bac. Un bac à plantes.
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Vous n’avez pas de chien, vous en avez peur, ils vous sont indifférents ou vous les appréciez, peu importe. Il y a un scénario que vous connaissez trop bien: un chien en liberté vient vers vous, et pas de propriétaire à l’horizon… Heureusement, peu de chiens sont agressifs!
Plein de conseils dans le petit guide “Moi qui ai peur des chiens” édité par l’Office vétérinaire fédéral
Par Jennifer Segui www.femina.ch
Votre enfant envisage une formation professionnelle à la rentrée 2013, mais il n’a pas trouvé de poste en entreprise? Pas de panique, c’est encore possible! quelques pistes pour lui donner un coup de main, avec Isabel Pérez, coach scolaire.
1. Privilégier le contact direct
Pas le moment de tergiverser, il faut agir vite. Laissez tomber les lettres, optez pour la mise en relation immédiate. N’hésitez pas à pousser votre ado à appeler les employeurs potentiels par téléphone ou/et passer directement dans les entreprises pour savoir s’il reste une place.
2. Bien cadrer sa demande
Certaines réponses se révèlent négatives car le profil du poste à pourvoir ne correspond pas au niveau de votre enfant. Dans le cas d’un apprentissage de commerce par exemple, faut-il choisir l’option «en formation de base», ou «en formation élargie» (avec les langues)?
3. Multiplier les stages
Pour s’assurer que le métier auquel il se destine est bel et bien celui qu’on imaginait, mais aussi histoire de mettre un premier pied dans une entreprise et de se faire connaître du «patron», un stage s’avère toujours une bonne solution.
4. S’organiser en pro
Tenir un tableau clair avec les lettres envoyées, les coups de fil passés, les contacts pris. Toujours faire une relance une dizaine de jours après la première postulation. Garder prêts des petits dossiers au cas où, avec lettre de motivation, documents relatifs aux trois dernières années d’école, copie des tests requis par les professions…
5. Rassurer et mettre en confiance
Les jeunes prennent souvent les refus pour une sanction personnelle. Leur expliquer qu’ils ne sont pas jugés sur ce qu’ils sont mais sur ce qu’ils font, et sur les qualités requises pour le poste.
6. Anticiper les motifs évidents de refus
Soyez attentive aux exigences de la profession. L’âge de 18 ans minimum est par exemple requis pour une place d’apprentie éducatrice de la petite enfance. Envisagez un rendez-vous avec le pédiatre pour déceler certains problèmes de santé incompatibles avec l’exercice d’une profession. On ne peut pas, par exemple, devenir coiffeuse si l’on est allergique à certains produits chimiques. Pour vous aider, la fiche métier du site www.orientation.ch rassemble les critères d’exigence et les contre-indications.
7. Avoir un plan B
Toujours imaginer une solution de repli, utile pour éviter les mauvaises surprises: une dixième année dans le public, une école privée, un séjour linguistique ou au pair, un stage longue durée…
8. Activer ses réseaux
Comme pour trouver un job, n’hésitez pas à faire appel à vos amis et connaissances et au bouche à oreille. Parlez donc de la recherche de votre ado autour de vous, au travail, auprès de vos commerçants habituels et, pourquoi pas, sur les réseaux sociaux.
9. Avoir l’œil sur le web
www.orientation.ch est LE site de référence qui vous renseigne sur les métiers, vous donne des tuyaux pour des lettres de motivation type et dresse une liste des places d’apprentissage. www.job-up.ch et tous les sites de journaux et autres petites annonces d’emploi, sur lesquels certaines entreprises communiquent, peuvent être consultés.
10. Coacher son enfant
Même si cette recherche d’une place d’apprentissage est un premier pas vers la vie d’adulte pour un ado, ce dernier a besoin de votre soutien et de vos conseils.
Saperlipopette 